La Région soutient les sportifs cantaliens, d’aujourd’hui et de demain, qui s’inspirent des champions d’hier.
La Région s’engage pour le Tour dans le Cantal
La Région avait prévu en 2023, dans le cadre de son Pacte pour le Cantal, un soutien exceptionnel pour les passages du Tour de France dans le département, notamment le passage du Tour de France féminin.
La Région soutient ses sportifs
Avec plus de 1,5 million de licenciés sur son territoire et 22 000 clubs répertoriés, la Région est une terre de sport. Depuis 2016, elle accompagne au quotidien les talents de demain en soutenant les clubs sportifs régionaux à hauteur de 44,7 millions d’euros, dont 16 millions pour les clubs professionnels.
Loin d’oublier les sportifs de haut niveau, ou en devenir, et dans la perspective des Jeux olympiques et paralympiques, ou d’autres grandes compétitions internationales, la Région travaille actuellement à un nouvel accompagnement de ses athlètes licenciés en Région et engagés sur le territoire régional.
© azvanphoto-123RF
Depuis 2017, dans le département du Cantal, 257 clubs ont été accompagnés, pour un montant total de 4,2 millions d’euros, dont 300 000 € par an pour le Stade aurillacois Rugby, dans le cadre du Pacte Cantal, sans oublier les nombreuses manifestations sportives organisées sur ce territoire. Par ailleurs, 14 minibus ont également été remis gratuitement aux clubs sportifs cantaliens. Les clubs cyclistes du département ont, quant à eux, bénéficié de 10 550 € de subventions pour l’achat d’équipements sportifs. Six manifestations cyclistes cantaliennes ont bénéficié de 12 650 € de subventions en 2022.
Dans le rétro : découvrez l’histoire de Louis Bergaud, alias « la puce du Cantal ».
Quand on est surnommé « la puce du Cantal », on ne joue pas des coudes dans les sprints ! Le Mauriacois Louis Bergaud, ou « Lily Bergaud », avait le profil du parfait grimpeur. C’est ce qui lui a permis de décrocher 150 victoires au cours de sa carrière de cycliste professionnel. Il a remporté deux étapes du Tour, mais sa performance la plus marquante est sa 7e place au classement général, en 1954.
Chaque été avant la crise sanitaire, une cyclosportive considérée comme l’une des plus belles de la région était organisée en son honneur : la « Lily Bergaud ».